samedi 23 juillet 2011

Il est 14h14

Il est 14h14 et 02 tierces sur l'autoroute 40, je roulait vers l'ouest
Il est 14h14 et 02 tierces et le boléro de Ravel entonnait crescendo vaec son orchestre.
Il est 14h14 et 02 tierces je réfléchissais à tout et à rien
Car sur l'autoroute métropolitaine je suis bien,
Entouré de mon père et de ma mère, on parlait de tout et de rien,

Quand soudain la sonnerie du téléphone me signala un message,
Sans main libre et sans se soucier des mauvais présages,
Je pris le téléphone pour reconnaître le messager
C'est bel et bien ma ..... qui m'envoya un message,

Je m'attendait à recevoir un salut, ou encore comment vas-tu,
En ouvrant mon téléphone, j'ai faillis perdre pédale en plein métropolitaine,
Ce message, je l'attends depuis deux ans, bien avant que je te connaisse,
Dans une manœuvre rapide, je repris la maîtrise du bolide,

Ma mère et mon père ne virent que du feu, croyant à une faute d’inattention.
Mon cœur palpite et s'emballe, ne sachant plus gérer l'inaction,
Je relis une deuxième fois le message, et mes yeux se remplirent de larmes,
Je m'essuie les yeux feignant un grain de poussière, J'aurai aimé être seul pour parler,

Je relis une troisième fois le message, ...... ne m'aime pas bien, mais elle m'aime beaucoup,
Avant même de la rencontrer, je m’imaginais une femme,
Aussi douce et aussi tendre que j'aimerai sans relâche,
Cette femme n'existait pas jusqu'à ce jour du huit avril,

Elle m’apparus descendre de sa voiture, comme une star de Hollywood,
Elle était belle et pleine d'allure, elle remplissait toute la terre de lumière,
Je m’était dis qu'elle était à moi, mais serai-je assez bon pour elle,
Ce fut une belle épopée et une belle aventure, j'en suis heureux et même très heureux,

Aujourd'hui ma dulcinée me l'a presque chuchoté à travers son cellulaire,
Je veux t'avoir à mes cotés tout de suite et non plu tard
Je veux t'embrasser, t’étreindre, te caresser et te goûter sans attendre le soir
Moi aussi je t'aime beaucoup et je t'aime très fort,

Ma .... à partir d'aujourd'hui, je suis à toi et tu es à moi,
Même si nous ne sommes pas sous un même toit,
À Chaque fois que tu veux me voir, tu n'as qu'à fermer les yeux,
Car les miennes sont déja fermés pour t'envoyer un doux baiser,

Est-ce toi ?

Dis-moi, dis-moi si c'est bien toi,
Depuis notre dernière rencontre je ne te reconnais plus,
Est ce à cause de la fatigue ? Est-ce pour d'autres soucis ?
Ton visage d'habitude joyeux, s'est soudain assombri,

Dis-moi ma chérie, quelle est la cause ?
Est-ce à cause de moi ? ai-je commis un impair ?
Si c'est le cas je te prie de m'excuser
Car dans mon cœur tu restes toujours la meilleure,

Je cherche en vain ton sourire et j'éprouve beaucoup de peine,
Je voudrai partager ta peine, comme je partage ta joie,
....., ma belle, sois sure que je t'aime et que tu m'aimes aussi,
Quand aux ennuis quotidiens, ils se dissiperont dans notre océan d'amour,

Mon cœur

Mon cœur

Mon cœur est un monoplace et toutes les places sont occupées,
Ne chercher plus à acheter des billets car le train est déjà complet,
Depuis déjà des mois, les places sont toutes occupées,
Debout, assises et même les couchettes sont toutes réservées,

Il ne vous reste plus qu'à attendre le prochain train qui tarde à arriver,
Celui-ci est un monoplace réservé à ma dulcinée et ma bien aimée,
Elle à pris la place très tôt avant la levée du soleil,
Le train à déjà verrouillé les porte et prêt pour le grand départ,

L'unique place de mon cœur t’est réservée depuis des années,
Sans savoir pour qui ni pour quand, mais le train attends l'arrivée,
De ma déesse, ma belle, ma très tendre aimée entrer dans la gare,
Sans se précipiter ni se faire bousculer elle monte dans le train pour une nouvelle destinée

Ma belle, le train va siffler avant de démarrer,
Il prendra le chemin parmi les vergers et les vallées,
Tu appréciera le paysage et tu sera émerveillée,
Pour tant de beauté que la nature à su créer,

....., Mon cœur est un monoplace, créer pour toi jusqu'à la fin des temps,
Tu l'occupe depuis une année et tu y resteras jusqu'à l'éternité
Si un jour tu voudras le quitter je t'en empêcherai,
Si un jour tu voudras vraiment le quitter, je l’ensevelirai pour l'éternité

Ainsi il gardera, l'image de ton visage, et la silhouette de ton corps,
Il gardera en mémoire tes rires et tes sourires et ton décor,
Les fragrances et l'odeur de ton corps pour le restant de mes jours,
Ainsi aucune autre ne souillera ta place par les émanations de son être.


L. V. Beethoven - Lettre à Elise par demondesmonts

jeudi 14 juillet 2011

Ma belle et ma douce

En me réveillant ce matin, seul dans ma chambre,
J’ai revu la soirée d’hier, inoubliable soirée,
Cordon bleu, jaune ou vert pour moi tu es la meilleure chef,
Tes petits plats et ta présence font du souper un délice,
Non je n’exagère rien, d’ailleurs les convives sont témoin,

Tu es belle et plus belle qu’avant, dans ta robe de satin jaune chatoyante
Pendant toute la soirée je n’ai pas cessé de te regarder et de m’émerveiller
Devant autant de bonté, d’altruisme, de tendresse et d”hospitalité,
....., tu es généreuse, aimante, joyeuse et pleine de gentillesse,

Dans mes rêves les plus fous, les plus fantasmagoriques,
Je n’ai point songé à rencontrer un ange sur terre,
Cet ange n’est autre que toi, toi seulement ......
J’ai déjà réalisé des rêves, des songes et des souhaits,
Mais toi ....., tu dépasses mes espérances, mes vœux et mes attentes,

La providence nous a réuni par hasard ou par chance,
Nos cœurs se retrouvent désormais ensemble grâce à la providence (internet !!)
Pour vivre l’aventure heureuse de deux êtres qui cherchent le bonheur,
J’y crois et j’y travaille pour que toi et moi nous y serons aux premières loges,

Hier soir dans ta robe, j’aurai voulu te serrer très fort dans mes bras,
Sentir la chaleur de ton corps, écouter le métronome de ton cœur,
Furtivement ou patiemment poser mes lèvres sur les tiennes,
Gouter à ta fleur rouge, parfumée à l’eau de rose,
Ce n’est que parti remise, la pudeur et le respect étaient de mise,

Comme je te le disais souvent, je t’aime, je t'adore et je te chérie,
Je le répète et je le répèterai, car personne sur terre n’est rassasié d’être aimé,
Je te demande juste une chose ....., rien qu’une petite et infime chose,
Malgré les soucis, et les petits désagréments passagers,
Malgré les peurs, les craintes et les petits ennuis,
Je te demande de me laisser t’aimer avec avidité,

Laisses moi te le dire chaque jour, chaque heure et chaque seconde,
Laisses moi te composer des poèmes d’amour, moi qui ne suis jamais poète,
Laisses moi te parler et te chuchoter des mots tendres à l’oreille,
Laisses moi te regarder et t’épier pour te garder infiniment dans mon esprit,

mercredi 13 juillet 2011

Le corps qui souffre

J’ai essayé en vain de t’écrire un poème.
En réalité j’ai écrit plusieurs poèmes, certains plus beaux que les autres, d’autres plus inspirés que les autres.
Mais comme l’écrivain devant sa machine à écrire je n’arrêtait pas de jeter les feuilles froissées dans la corbeille.
J’ai tenté en vain d’aller au fonds de moi même pour composer le plus beau poème pour toi,
J’avoue que j’ai eu beaucoup d’inspiration, mais tous ces poèmes ont terminé leur vie dans la corbeille,

Ces derniers heures, je ferme souvent les yeux pour te voir de plus prêt,
Ces dernières heures, j’ai demandé des explications à mon cœur et à mon corps,
Je leur ai posé une question simple : Pourquoi ?
Mon cœur en frémissant sous l’effet de l’extrasystole m’avoua nettement :
”Je l’aimais, je l’aime et je l’aimerai pour l’éternité”
“...... est tout pour moi : c’est le passé, le présent et l’avenir”
“...... est ma déesse, c’est la reine des femmes sur terre et dans l’univers”
“Sans ....., je suis perdu, sans ... je suis le néant”
“Avec ....., je vis, j’irrigue fièrement tout le corps d’hémoglobine”,
“.... je l’aime comme personne n’a aimé une femme”,
Alors pourquoi ? Corps dit moi pourquoi ?
Timidement, la larme à l’œil et sans me regarder :
“Moi aussi je l’aime, je l’aime plus que le cœur prétends l’aimer”
“Je connais la douceur de ces cheveux, la douceur de sa peau délicate”
“Ces épaules, ces joues, ces mains, ces bras, tout son corps s’est abreuvé de mes langoureuses caresses”
“..... me rendait la pareil, par ses caresses douces et lascives”
“Avec mes yeux j’admirai sa silhouette exquise”
“Avec ma langue et mes lèvres j’ai gouter le parfum de sa bouche framboise”
“Dans mes bras, j’ai ressentis la chaleur de son corps et les battements de son cœur”
“Avec mon nez j’ai humer les fragrances de son corps”
Oh corps !!! pourquoi tu m’a trahi ?
Pourquoi tu m’a humilié ? Pourquoi tu m’a abandonné ?
Car j’avais soif, tellement soif, toi mon corps tu m’a mené vers la source,
Toi mon cœur tu m’as fait aimer le goût de l’eau de source jaillissant des montagnes,
Crescendo, et avec beaucoup d’effort, nous gravîmes les montagnes,
Nous haletons à chaque collines, tous les efforts sont consentis,
Quand nous vîmes la source, mon cœur s’enorgueillit, mais mon corps se flétrit
Mon cœur aussi vivace, mon corps tombait dans une crevasse,
Mon corps n’en peut plus, un pas, deux pas, et c’est le paradis,
Hélas, il ne peut plus continuer, harassé et fatigué des souvenirs d’antan
Cloué au pilori , il ne peut plus avancer,
Oh toi mon corps !!!, avance et fait comme mon cœur, encore un effort !!!,
Dans un ultime soubresaut, reprenant son souffle :
“Le corps à ses raisons que la raison ne comprends pas”
“Depuis très longtemps, j’ai traversé des rivières”
“J’ai escaladé des montagnes, j’ai traversé des ouragans”
“J’ai résisté au vent, j’ai plié au typhons”
“Je t’ai mener partout dans le monde, à travers les cinq continents”
“Aujourd’hui je n’en peut plus, Aujourd’hui je suis foutu”
“Car la belle gazelle est là, frémissante et joviale”
“Me rappelle les cris de l’hyène, tapageuse et rageuse”
“Qui ne cessait de m’importuner durant deux décennies”
“Elle m’a brisé, coupé en mil morceaux, ne me laissant qu’un tube pour respirer”
“La délivrance fût longue et laborieuse”
“Car les mâchoires de l’hyène sont fortes et solide comme l’étau”
“L’hyène est maintenant parti mais elle a laissé des traces et du venin”
“Il circule encore dans mes veines, mes artères et mes neurones”
“Me rappelant à chaque instant qu’elle existe encore”
“Je sais qu’elle ne reviendra plus, mais le venin est toujours là”
“Il se dissipe petit à petit, jusqu'à son extermination”
“Ce jour là j’aurai la force de continuer jusqu’à la source ou tu boira de l’eau fraîche limpide comme le cristal”
“Tu boira à satiété et ainsi heureux tu pourra pénétrer dans le jardin secret de ta bien aimée”,
“Ce jour est très proche, d’autres ont déjà passé par là et ont goûté aux délices de l’éden”,
“Sois patient ce jour viendra, et ton amour grandira aussi haut que l’Himalaya”
“Toi cœur caché dans mes entrailles tu sera de la fête, car c’est grâce à toi que l’amour naît”
“Ensemble nous seront heureux, et nous deviendrons amoureux de celle qui nous habite depuis déjà belle lurette”
“Oh !! les dieux et déesses des cieux et des terres faites que notre chère et tendre aimée soit saine et toujours en bonne santé”,
“Car nous vivons tous pour elle”
Le cœur a parlé et il a raison,
Le corps a parlé et il est souffrant,
Ma bien aimée, accorde ton pardon pour le cœur qui t’aime et qui te vénère,
Ma bien aimée, accorde ta bénédiction pour le corps qui souffre

Que c’est beau la vie !!!

Que c’est beau la vie !!!
Mélange d’humour et d’amour,
Tel Zorro sur sa monture allant libérer sa bien aimée

Que c’est beau la vie !!!
Entendre l’appel de son amour crier au secours,
Arriver au galop pour couper à la pointe de l’épée les échancrures et retrouver la liberté,

Que c’est beau la vie !!!
Enfin délivrée de la robe-prison et respirer l’air frais,
C’est merveilleux de voir sa dulcinée radieuse et heureuse après sa mésaventure

Que c’est beau la vie !!!
Ma ..... tu peux toujours compter sur moi,
Mon amour est infini, et tu peux t’en servir à satiété,

Que c’est beau la vie !!!
Ce matin je suis heureux, et plein d’énergie,
Car je sais qu’entre toi et moi, la robe est fine et transparente,
Je t’aime et je t’aimerai pour toujours,

Merci ..... pour le bonheur que tu m’apportes,
Je suis conscient que je ne t’apporte pas encore autant que tu le souhaite,
Mais comme Zorro, Roméo et le prince charmant,
je suis persévérant et avec beaucoup d’abnégation,

Je continuera à labourer mon champs ,
Jusqu’à le transformer en jardin d’Éden,
Dans lequel tu vivra et tu t’émancipera,
À L’abri de la pluie, de la neige et du vent,

Je serai à tes cotés pour te servir, t’aider et te protéger,
Car tu m’as déjà beaucoup donné : amour, espoir, affection et tendresse,
Je te demandes une seule faveur : “juste laisses moi t’aimer”

Laisses moi t’aimer dans mes rêves, et dans la réalité
Laisses moi t’aimer toutes les journées et toutes les nuits,
Laisses moi t’aimer tous les jours de la semaines et les mois de l’année
Laisses moi t’aimer jusqu’à la fin des temps,

dimanche 10 juillet 2011

Oui tu es belle

Tous les photographes du monde,
Tous les appareils photos,
Tous les Ipad et cellulaires
Tous les paparazzis
Se sont trompés, car j’ai la preuve de leur fourberie
La preuve de leur mensonge et leur hypocrisie,
Car une seule fois, et seulement une seule,
Sous le rayon de soleil de st-Jérôme,
Ton visage illuminé par cette lumière.
Ton sourire à émerveiller tous les archanges
Même la serveuse en fût ébahit
Quand à mon cellulaire il faillit rendre l’âme,
Devant ta beauté divine, tu es une déesse,
Ton trône est au dessus d’Aphrodite, d’Héra et d’Athéna,

dimanche 3 juillet 2011

Ma perdrix

J'ai cherché partout, dans les cieux, les terre et les océans,
J'ai lu tous les livres d'histoire de littérature et de philos,
J'ai fouillé toutes les grottes, les vallées et les dunes,
J'ai parcouru toutes les contrées du monde et des galaxies

J'ai demandé au pygmée d’Afrique, aux aborigènes d’Australie,
J'ai aussi demandé aux algonquins du Québec et aux falashas d’Éthiopie
J'ai supplié les lapons de Finlande et les patchounes d’Afghanistan
Mêmes les tziganes, et les roms, les wolofs et les ouïgours
y compris les zapotéques et les zoulous, les mohikans et les javanais,

À tous et a toutes j'ai seulement demandé,
Si eux ou un des leurs, si leurs enfants ou leurs parents
Si leurs descendant ou leurs ailleuls
Ont déjà vu ou entendu des gens raconter l'histoire d'une perdrix,
Belle comme le clair de lune, brillante comme le soleil
Roucoulant de tendresse et d'amour pour autrui

Son sourire éternel rassure les malades et les mal-pris
Son visage beau comme la lune entourée de cheveux soyeux
Sa bouche exquise et ses lèvres voluptueux
Son corps de gazelle et ses jambes de déesse

Cette perdrix la connaissez-vous, oh peuple de la terre
Je la cherche depuis toujours et je commence à perdre patience
Aidez-moi je vous en prie car je suis dans la détresse,
Je suis prêt à attendre cent ans ! mil ans ! et encore davantage,

Avant de mourir je voudrai la retrouver et la serrer très fort dans mes bras
Lui dire tous bas au creux de l'oreille : combien je l'aime et je l'adore
Lui dire combien je la chérie et combien je la vénère,
Pour moi elle est la meilleure femme sur terre

Ma belle, ma femme, ma perdrix, maintenant tu es à moi, et moi pour toi
Oh peuple de la terre aidez-moi à la retrouver
Je sais elle est quelques part entre ciel et terre,
Je sais qu'elle vit sur une île au paradis

Entre une forêt d’érables et un fleuve
Elle m'attends depuis longtemps et même très longtemps
Mon arrivée est imminente par la grâce des peuples du monde
qui m'ont ouvert leur cœur et donner du courage,
Car maintenant je l'ai trouvé, ma dulcinée, ma bien-aimée,

Elle habite Montréal, la meilleure cité
Sur la rue des bois et des érables
Je la voix de loin. elle court vers moi les bras ouverts,
Je fais de même je cours vers elle,

En se retrouvant, nos yeux humides et nos lèvres salivantes
Nous Nous embrassons goulûment sans se soucier des regards,
Le goût des larmes, de la salive et de ses lèvres mélangent,
Pour donner un gout de nectar royal enivrant

samedi 2 juillet 2011

Aujourd'hui j'ai raté le train,

Tard, un soir d'été ou se mêlait le parfum des lilas et des églantines,
Ma bien aimée et moi préparions nos effets pour un voyage vers l’éden
Nous nous rendîmes dare-dare à la gare de la rue des sevenes,
Quand je trébucha et tomba parterre
Dans la poussière, elle essaya de m'aider pour rattraper le train de la vie,
Hélas, le train ne s’arrêta point et parti,
Je resta parterre ébahit par mon sort
Et ma dulcinée s'inclina pour me ramasser
Le train est déjà parti,
Heureusement que notre amour est fort
Nous attendrons le prochain qui sera orné de fleur et de rose,